Elizabeth est hospitalisée, mourante. Sa petite-fille, Nina, vient lui faire, et écoute sa grand-mère lui raconter sa jeunesse à la fin des années 1950, son premier amour, Robert.
L'histoire est trop prévisible, sans grand intérêt et très longue. Les interludes avec Nina ne servent pas à grand chose. J'aime bien Robert, personnage assez attachant, mais les autres, on peut passer notre chemin. Pourtant, sur le papier, ça pouvait être chouette.
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